Entrez et tapons la causette (archive 21)...

45 Bd Raspail, 75006 Paris
https://www.hotellutetia.com/

Hôtel emblématique de Saint-Germain-des-Prés à Paris, le Lutetia est le seul palace de luxe de la ville sur la rive gauche. Depuis 1910, et bastion du passage de l'Art Nouveau à l'Art Déco, le Lutetia Paris a accueilli des hôtes de près et de loin au cours du siècle dernier, offrant à tous une véritable expérience parisienne.
Dépassant l'angle du boulevard Raspail et de la rue de Sèvres, le Lutetia est un pilier de la Rive Gauche depuis plus d'un siècle. Véritable reflet du cœur culturel de Paris.
176 chambres et suites, 8 suites Signature.
Spa, centre de remise en forme, piscine, sauna
Construit à l'origine pour abriter les commerçants et les clients du Bon Marché voisin, le Lutetia est depuis devenu une destination à part entière, en particulier pour les vraies Parisiennes. Aujourd'hui l'un des hôtels prééminents de la ville, le Lutetia doit en partie sa magnificence à sa maison - la rive gauche.
Lieu de prédilection des Parisiens comme des voyageurs internationaux, le Lutetia est une destination culinaire à Saint-Germain depuis plus d'un siècle. Avec des lieux célèbres parmi lesquels choisir, les clients peuvent s'attendre à une expérience offerte nulle part ailleurs.
L'un des grands hôtels design de Paris, le Lutetia a été soigneusement restauré et modernisé par Jean-Michel Wilmotte.
La décoration intérieure de l'hôtel était un défi complexe et passionnant : restaurer le décor légendaire qui a fait le pont entre les mouvements Art Nouveau et Art Déco, et le faire entrer dans le 21e siècle. L'architecte a ravivé ce qui était devenu caché et réinventé ce qui n'existait plus. Des maîtres artisans du monde entier ont été amenés à aider à la restauration des peintures, vitraux, fresques, mosaïques, sculptures, etc.
Évadez-vous dans un sanctuaire au cœur artistique de Paris
Avant la terre, l'eau, le feu et l'air, disent les légendes, il y avait Akasha, la source de toute création. Au Lutetia Paris, vous êtes invité à revenir à cette source - Akasha Holistic Wellbeing. Dans cette magnifique oasis - idiotçue par Jean-Michel Wilmotte - vous trouverez une nouvelle approche du bien-être holistique. De la nutrition à la méditation, des soins du visage au fitness, vous pouvez profiter de soins experts, de thérapies et d'un entraînement personnel avec une touche parisienne. Le seul endroit pour commencer – ou même terminer – une journée parfaite.

Salles de soin, cours de fitness, gymnase de 100m²

Gizeh

Canada

Jean François de Galaup, comte de La Pérouse (23 août 1741 - disparu en 1788), né au château du Gô, dans la paroisse de Saint-Julien à deux lieues d'Albi, est un officier de marine et un explorateur français.
Né dans une famille noble originaire d'Albi, La Pérouse s'engage dans la Marine royale au début de la guerre de Sept Ans. Il connaît son baptême du feu pendant ce conflit en Amérique du Nord et aux Antilles, sous les ordres du chevalier de Ternay, son mentor. Il est présent au siège de Louisbourg en 1758 et à la bataille des Cardinaux l'année suivante. Blessé au cours de ce combat, il est fait prisonnier en Angleterre avant d'être échangé. À la signature de la paix de Paris, il est affecté à différentes missions d'escortes, notamment à destination de l'Île-de-France où il passe cinq ans et rencontre sa future femme.
Rentré en France avant le début de la guerre d'indépendance des États-Unis, il est promu lieutenant de vaisseau et décoré de la croix de Saint-Louis. Lors de la reprise des hostilités, il participe aux combats contre les Britanniques aux Antilles :
il est à la prise de la Grenade et aux combats de Saint-Christophe et des Saintes et il est chargé de conduire une expédition contre les établissements britanniques en baie d'Hudson, où il démontre sa valeur maritime et militaire en capturant deux forts britanniques.
Capitaine de vaisseau à la fin de la guerre, il est choisi par le marquis de Castries, ministre de la Marine et par Louis XVI pour diriger une expédition autour du monde visant à compléter les découvertes de James Cook dans l'océan Pacifique. Cette expédition maritime autour du monde, qu'il commandait, disparaît corps et biens à Vanikoro (îles Santa Cruz) en 1788, trois ans après son départ de Brest.
Une expédition de secours commandée par le vice-amiral d'Entrecasteaux est envoyée dans les années qui suivent le naufrage (1791-1794), sans succès. Le mystère de la disparition de La Pérouse n'est percé qu’en 1826 par Peter Dillon et par Jules-Sébastien-César Dumont d’Urville en 1828, qui retrouvèrent l’épave de L’Astrolabe. Enfin, Reece Discombe identifie celle de La Boussole en 1964.

https://www.doitinparis.com/fr/meilleurs-petits-dejeuner-paris-25950
Face à la place de la Concorde, le Café Lapérouse a élu domicile à l’Hôtel de la Marine. Au programme, un petit-déjeuner typiquement parisien avec à la carte l’indétrônable œuf coque, le croque-monsieur ou encore de délicieuses viennoiseries.
Une adresse pilotée par le Moma Group et imaginée par la célèbre décoratrice Cordelia de Castellane. Notre verdict ? Une ambiance pleine de fraîcheur et un fabuleux décor romanesque, on recommande à 100% !

https://cafelaperouse.com/
À l’origine, un certain Lefèvre « Limonadier du Roi » et négociant en vins, qui s’établit en 1766 à l’adresse qui, quelque 100 ans plus tard, hébergera l’une des plus belles caves et accueillera le Tout Paris qui vient s’y encanailler le temps d’un souper. Car plus que la cuisine longtemps triplement étoilée, ce sont ses petits salons qui ont fait sa réputation et ses fameux miroirs que les cocottes griffaient avec le diamant offert par leur amant pour s’assurer de son authenticité.
Embarquement pour un voyage extraordinaire.
Cordélia de Castellane – également directrice artistique de Dior Maison et Baby Dior – s’est entourée d’un équipage de haute volée pour imaginer un lieu au charme fou, inspiré des voyages de l’explorateur à qui le restaurant a emprunté son nom. Elle signe pour les Cafés Lapérouse de somptueux décor qui associent influences XVIIIᵉ, imprimés bigarrés et touches Art Déco, dans un irrésistible mélange des genres façon Madeleine Castaing.
Première destination « hors les murs » du mythique restaurant du 51, quai des Grands Augustins, le Café Lapérouse s’ancre pour la première fois à l’Hôtel de la Marine, place de la Concorde. Une fabuleuse adresse, un spectaculaire décor romanesque signé Cordélia de Castellane, deux terrasses protégées, une ambiance très rock‘n’roll et une offre éclectique : ici, l’esprit Lapérouse pétille du matin au soir. Restaurant, bar, cave, épicerie, glacier chocolatier : Café Lapérouse est tout à la fois. C’est un repaire en perpétuelle effervescence. En service continu toute la semaine, on partage ici le bon et le beau, de jour comme de nuit.
Petit-déjeuner chic, déjeuner galant, rendez-vous important, envie de prendre son temps, tea- time décalé, apéritif festif, verre en terrasse, joyeux dîner, soirée animée… de 8h30 à minuit, l’équipe reçoit avec le même plaisir dans ce temple de la gourmandise sucré-salé, où l’on se sent à la fois ailleurs et chez soi. Une seule envie : faire de chaque instant un moment mémorable. Une petite fête.
2 Place de la Concorde – 75008 Paris

Dans l’Hôtel de la Marine, on découvre dans un salon, le portrait du navigateur Jean-François de Lapérouse (1741-1788), officier de la Marine royale et explorateur français. Cela sonne comme une évidence : c’est ici que s’installera le premier Café Lapérouse, à la proue du bâtiment.
Le Café Lapérouse de l’Hôtel de la Marine est donc le premier d’une enseigne destinée à s’exporter dans les lieux les plus branchés. Après Paris (Hôtel de la Marine et Printemps Haussmann) et Saint-Tropez les prochaines escales se dessinent au large, plan d’un voyage que Le Comte de Lapérouse n’aurait pas renié.
2 Printemps Haussman
Le Décor de Cordelia de Castellane niché au cœur d’un des plus grands magasins de Paris, pour y déguster une salade ou un croque sur le pouce lors d’une pause shopping, un petit déjeuner ou des plaisirs sucrés au tea time. Sur Place ou à Emporter.[
64 Bd Haussmann, 75009 Paris, France
3 Escale idéale : le Port des Pêcheurs à Saint Tropez pour la première exportation du Café Lapérouse hors de Paris. Une terrasse nichée au calme du vieux Port ouverte toute l’année.
20 Quai Frédéric Mistral, 83990 Saint-Tropez, France

Avenue Assad ibn fourat, Hammamet 8050, Tunisie
La sirene Hammamet: est un agréable restaurant sur la zone de Hammamet, où vous pouvez prendre place pour profiter d’un bon repas. Avec une belle vue, laissez-vous charmer par une cuisine raffinée et honnête et par un service sympa et professionnel à un bon prix.
Au restaurant La sirène les plats sont proposés pour un mélange de saveurs qui ne manqueront pas de satisfaire toutes les papilles.

https://www.tripadvisor.fr/Tourism-g297943-Hammamet_Nabeul_Governorate-Vacations.html
Laissez-vous séduire par le charme et les superbes plages d'Hammamet ! Situé sur la côte sud Est de la péninsule du Cap Bon, Hammamet c’est le "Saint-Tropez tunisien", dans un cadre verdoyant avec des vergers de citronniers et d’orangers. Vous pourrez également flâner sur les marchés à la recherche de belles poteries locales et vous balader dans la vieille ville (Médina) dont les murs d’enceinte datent de 1500 ans. En été, c’est l’époque des festivals de musique et de théâtre, à ne manquer sous aucun prétexte!

https://www.geo.fr/destinations/tunisie/hammamet
Hammamet s’étend sur 18km le long de son golfe. Le centre-ville d’Hammamet forme un triangle dont la pointe sud est occupée par la médina, qui domine la mer.
On distingue, à l’ouest, la zone hôtelière de Hammamet-Sud et, au-delà, Yasmine Hammamet. À l’est, la zone hôtelière de Hammamet-Nord s’étend jusqu’à Nabeul.
Lors de votre séjour à Hammamet, vous pourrez déguster des classiques de la cuisine tunisienne :
– Les bricks à l’oeuf : feuilleté farci d’oeuf et de thon, frit dans l’huile.
– La salade tunisienne : tomates, oignons et poivrons.
– La chorba : soupe avec de petites pâtes (type vermicelles), de l’agneau et des légumes.
– Le couscous : semoule accompagnée d’un bouillon avec des légumes et différents morceaux de viandes (agneau, poulet, merguez).
– Le méchoui : mouton ou agneau rôti au feu de bois.
– Les pâtisseries tunisiennes : makroudh (pâte farcie de dattes trempée dans du miel), baklawa (feuilleté aux noisettes, pistaches et miel), loukoum (confiserie souvent à la rose ou à de nombreux parfums, enrobé de sucre glace), les cornes de gazelles.
Avec son chapelet d'hôtels-clubs et sa médina qui semble dédiée au commerce des "souvenirs", Hammamet est, pour beaucoup, synonyme de tourisme de masse. Mais il n'en a pas toujours été ainsi. Ville thermale dans l'Antiquité (Hammamet est le pluriel de "hammam"), théâtre d'affrontements sanglants entre Turcs et Espagnols au XVIe siècle, la ville d'Hammamet présente au XIXe siècle le visage d'une petite cité blottie derrière ses remparts. D'immenses forêts et des vergers d'agrumes couvrent alors les collines environnantes. Le site d'Hammamet a de quoi séduire !
La médina de Hammamet
Trois grandes portes, une au sud et deux au nord, commandent son entrée. La médina actuelle d’Hammamet n’a rien de commun avec celle qui enchantait les visiteurs, voilà quelques décennies. Si ses beaux remparts ocre, surmontés de créneaux ronds, ont été parfaitement restaurés, de vilains magasins de souvenirs ont envahi ses ruelles. En fait, la magie n’opère dans ces venelles blanches que lorsque les boutiques sont fermées.

La casbah de Hammamet
Fondée sous les Aghlabides (IXème siècle) et remaniée en 1236 et 1437, la citadelle (casbah, ou bordj) occupe l’angle nord-ouest de la médina d’Hammamet. Si elle est si bien conservée, c’est que la population locale eut longtemps son entretien à charge. Ses murs épais, cantonnés de quatre saillants, ont été les témoins d’épisodes célèbres, comme l’attaque surprise en 1602 des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.

Les plages de Hammamet
La plage du centre-ville de Hammamet (au pied de la médina) est jolie avec ses barques de pêcheurs colorées, mais elle n’est pas toujours bien fréquentée ni bien nettoyée. Il est préférable d’étendre sa serviette sur la plage de Hammamet-Nord, au nord de la médina (route de Nabeul).