Entrez et tapons la causette (archive 18)...

oh mais c'est à cinque terre (5 terres) j'ai dans la tête des photos magnifiques de ce village multicolore
L'Hôtel Pasquale est un petit hôtel à gestion familiale situé dans la rue principale de Monterosso al Mare, au cœur du vieux bourg, directement face à la plage des pêcheurs.
L'Hôtel compte 15 chambres avec ascenseur, offrant une vue merveilleuse sur la mer et la côte des Cinq Terres, avec ses typiques parois rocheuses à pic sur le bleu cristallin de la Mer Ligurienne.

L'hôtel est situé dans une position d'où vous pourrez rejoindre facilement tout lieu du village y compris les sentiers.
L'hôtel est équipé d'un restaurant, fonctionnant sur réservation, pour un nombre minimum de 10 personnes.
Sur demande, vous pourrez participer à la démonstration de la méthode traditionnelle et de préparation du pesto dans un mortier.

La bataille pour Sainte-Lucie a duré cent cinquante ans, entre le XVIIe et le XVIIIe siècle. Durant ce temps, l'île a changé quatorze fois de mains. Un jour française, dès le lendemain, anglaise. Désormais, le séjour sur cette terre volcanique, avec ses panoramas spectaculaires, ses plages de sable fin, sa riche histoire et ses traditions franco-anglaises permet de comprendre cet acharnement.

Si les Anglais ont finalement pris le dessus en 1814, l'influence française reste très présente. On la retrouve dans le patois local, la cuisine ou le nom des sites et villages: Marquis, Malgretoute, Anse Cochon, Mon Repos… Les vestiges d'architecture française sont également nombreux à Soufrière, ancienne capitale coloniale où, tout autour de la place du marché, s'élèvent encore les maisons aux façades pastel avec galerie à l'étage. Ne pas manquer non plus celui de Castries, histoire de saluer la statue de Derek Walcott, le poète local qui reçut le prix Nobel de littérature en 1992 avec sa peinture vigoureuse de l'exil et du colonialisme.

Les premiers à apprécier Sainte-Lucie furent les explorateurs, les pirates et les planteurs de canne à sucre. Du reste, la légende raconte que c'est le pirate François Le Clerc, plus connu sous le nom de «Jambe de bois», qui fut un des premiers à poser son unique pied ici, vers 1550. Juste hommage lui a été rendu puisque la goélette Unicorn, vedette du premier Pirate des Caraïbes, avec Johnny Depp, a été coulée au large de Sainte-Lucie en 2014.

Aujourd'hui, les vacanciers sont devenus de très pacifiques occupants. Ils trouvent refuge à l'abri d'hôtels romantiques posés en bord de mer. Certains profitent tout simplement de la plage, d'autres plongent dans des eaux cobalt et les amoureux de grande nature partent sur les chemins de randonnée découvrir les chutes d'eau ou explorer les Pitons, deux montagnes jumelles, repères bien connus des plaisanciers nombreux dans la région. La haute saison débute en décembre, lorsque cesse celle des pluies, et se prolonge jusqu'en mai avec le festival de jazz de l'île.

Sainte-Lucie compte 175.000 habitants (le tiers vit à Castries, la capitale) pour 617 km2. Une petite communauté en somme, toujours prête à afficher ses vertus de bon accueil. En voiture de location, les déplacements sont faciles, entre le Nord, où se trouvent la plupart des grands hôtels ainsi que le port qui accueille les paquebots de croisière (centre commercial géant), et le Sud, resté parfaitement nature. Idéal pour profiter des magnifiques points de vue sur la mer des Caraïbes ou bien l'Atlantique, et traverser les plantations de bananiers entre deux villages colorés. Sans oublier la visite des jardins botaniques comme Mamiku, un bonheur tropical, dont le nom rappelle Ma Micoud, épouse du baron Micoud, gouverneur de l'île au XVIIIe siècle. Ne pas oublier non plus d'aller chercher la fraîcheur auprès des sources qui jaillissent sur les pentes du volcan - largement éteint - dont la plus haute élévation, le mont Gimie, culmine à 950 mètres. Les randonneurs qui gravissent le Gros Piton, deux heures de marche exigeante, sont récompensés par une vue sensationnelle sur les Îles du Vent.

4 hôtels sélectionnés
Sugar Beach Viceroy hôtel, grand chic tropical

À Sainte-Lucie, les Anglais et les Français vivent désormais en bonne entente. La preuve au Sugar Beach, une ancienne plantation. Dessinée entre les deux Pitons, elle offre toutes les images espérées d'une pause grand chic sous les tropiques. Elle borde la baie du Silence, elle-même tapissée par la plage Oubliée, c'est dire. L'hôtel est constitué d'un ensemble de villas coloniales de bois blanc semées sur le vaste domaine, chacune sa piscine et son majordome. Lit à baldaquins couverts de pétales de fleurs chaque jour, bois exotique et tissus blancs, vue grand écran sur le large, service aux petits soins… Le lieu appartenait à lord Glenconner, ancien propriétaire de l'île Moustique et ami de la princesse Margaret. Il fit construire le bar Bang Between the Pitons à côté de sa villa, une folie chinoise de bord de mer. Depuis la plage aux eaux cristallines, il suffit d'enfiler masque et tuba pour croiser ici autant d'espèces tropicales, poissons et plantes, que dans un documentaire du commandant Cousteau. Soirées bucoliques dans le restaurant français The Great Room, où le chef Jacques Chrétien propose une épatante cuisine franco-créole, comme les saint-Jacques grillées sur lit de topinambour. Pas étonnant que nombreuses célébrités trouvent ici refuge, séduites par l'élégance aristocratique de l'établissement.
Environ 1000 € la chambre double par nuit.
Calabash Cove les yeux dans les yeux



C'est la fête pour tous les résidents. Trois oisillons de paradis ont cassé la coquille, comme le montre le jardinier Alban Camille. Le nid est caché dans les feuillages du jardin, tamarins et flamboyants, ceux-là mêmes dont les troncs font les tambours des groupes de calypso. Entre les bougainvilliers rouges et blancs se nichent des cottages de style balinais en bois, chacun avec sa piscine, ainsi que des suites, vingt-six clefs au total. Ambiance intimiste donc pour duos enamourés. D'autant que le bleu de la mer ravit en permanence le regard, pâle ici, marine, plus loin, turquoise à deux pas… Construit sur une colline qui surplombe une plage de sable blanc, Calabash Cove regarde d'un côté la Martinique, de l'autre Castries, surtout à l'heure où le ciel se couvre d'or. Alors, le bar de l'hôtel ne désemplit pas. Au loin filent les bateaux de croisière. Le temps s'est arrêté.
À partir de 550 € à certaines dates de décembre.
Cap maison comme chez soi

Direction la pointe nord de Sainte-Lucie. Posé au sommet d'une falaise, Cap Maison dispose de 49 chambres réparties dans des villas de deux étages. Le tout compose ules yeux dans les yeuxne sorte de charmant village tout blanc dont les rues seraient des allées fleuries. Voici le rendez-vous préféré des familles et des tribus. En effet, nombre d'habitations disposent de plusieurs chambres et d'une kitchenette, ainsi que d'une terrasse ou d'un balcon, ouvert d'un côté sur la Martinique, de l'autre sur le vieux fort de Pigeon Island. C'est de là que la flotte anglaise est partie en 1782 pour battre les Français lors de la bataille des Saintes, en coulant le Ville de Paris, alors le plus grand navire de guerre au monde. C'est dans le bâtiment central de l'hôtel que loge un spa Sothys dernier cri. Certains soins utilisent le gingembre cultivé sur place. En contrebas se trouve le restaurant de plage, le Naked Fisherman, ou «Pêcheur nu», qui propose une cuisine fusion, avec par exemple des raviolis de homard et plantains caramélisés, un barbecue de barracuda à la créole, etc. Le site est un des plus beaux de Sainte-Lucie. On y mange à l'abri d'une paillote au-dessus de la mer. Magique, quand la baie s'anime avec le spectacle des planches à voile et des kayaks de mer.
À partir de 300 € la chambre double
Balenbouche Estate l'authentique


Retour aux sources. Cette maison joue la carte de l'authenticité. Il s'agit d'une ancienne plantation du XVIIIe siècle, tenue depuis cinquante ans par la même famille, les Lawaetz. Située au sud de l'île, entre Laborie et Choiseul, à vingt minutes de l'aéroport international, la propriété d'une quarantaine d'hectares est constituée d'une maison de maître, de vergers, de pâturages, de mares tapissées de nénuphars et d'un moulin à sucre d'époque, dont les robustes roues sont progressivement envahies par la végétation. On y dort dans quatre cottages d'architecture tropicale, décorés dans le style caribéen, avec douche en pierre naturelle, lavabo en bois flotté, varangue… Deux plages de sable noir contribuent au charme de cette propriété qui cultive la mémoire et le style de ce que fut Sainte-Lucie.
Compter une centaine d'euros la chambre double aux meilleures conditions

C'est un petit duc maculé dans son nid et le photographe McGeorge a dû attendre six heures pour obtenir cette image.

Bienvenue sur le site Internet de Lou Bantry, restaurant à Villefranche-sur-Mer !
Lou Bantry, votre restaurant à Villefranche-sur-Mer près de Saint-Jean-Cap-Ferrat, vous propose un large choix de spécialités niçoises, de poissons et fruits de mer pour satisfaire toutes les papilles ! Il est aussi possible de privatiser le restaurant pour les repas de groupe.
Olivier Senia et Marc Misserlian reprennent Lou Bantry, restaurant à Villefranche-sur-Mer près de Saint-Jean-cap-Ferrat, en 2017. Ils ont à cœur de vous proposer des plats emblématiques de la cuisine méditerranéenne, dans le cadre exceptionnel de la rade de Villefranche. Vous aurez le choix de vous installer en intérieur ou en terrasse pour un agréable moment agrémenté par l’air marin. L’équipe vous accueille tous les jours, pour un service de restauration non-stop.

Le restaurant tire son nom de la yole de Bantry, la plus ancienne embarcation de la marine, datant de 1796, qui a été retrouvée intacte par des archéologues dans la baie de Bantry. Aujourd’hui, l’association « Une Yole pour Villefranche » lui rend hommage en proposant des sorties en bateau pour partir à la découverte de la rade !
En gros Villefranche sur mer  est juste à côté de Nice en direction de l'Italie..
(Vilafranca de Mar en provençal nissart, Villafranca en italien) est une commune française, limitrophe de Nice, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Villefranchois, comme dans la plupart des communes portant le nom de Villefranche, et lu Vilafranquié en niçois. Par dérision, ils avaient aussi reçu le sobriquet de Suça-carouba
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vue sur Villefranche depuis le Mont Boron (Nice)
La rade de Villefranche offre un mouillage sûr à l’abri des vents d’est et accueille de nombreux navires de croisières. Avec une profondeur moyenne de 17 m, elle atteint 95 m à son entrée et se prolonge au large à environ un mille par le canyon de Villefranche, un abysse de plus de 500 m au large de la baie des Anges.

La rade de Villefranche est fréquentée dès l'Antiquité par les marins grecs et romains. Ceux-ci s'en servent comme mouillage et lui donnent le nom d'Olivula Portus. Le site est cependant victime d'attaques barbares répétées. Au IXe siècle, les pirates sarrasins tenaient à l'emplacement de Villefranche-sur-Mer une forteresse. Les habitants délaissent le bord de mer et se réfugient sur les hauteurs ; ils y fondent un autre village, Montolivo.
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